On compte au sein (ou entre) différentes organisations criminelles deux sortes de guerres, toutes deux aussi meurtrières les unes que les autres, mais pourtant très différentes.
1- Les guerres ouvertes
Les guerres dites ouvertes ou externes sont très occasionnelles, elles peuvent durer assez longtemps, mais sont extrêmement redoutées, du fait de leur violence sans égal. Redoutées, elles le sont tout particulièrement par les soldats de chacune des Familles belligérantes. En effet, les soldats sont les hommes qui s’impliquent le plus dans les guerres, ils sont donc logiquement des cibles recherchées. Même les parrains ne restent pas indifférents aux guerres ouvertes, en fait, ils ne les craignent pas moins : qui dit guerre ouverte dit aussi bâtiments détruits, qui dit bâtiments détruits dit mettre la main à la poche, et ça, les parrains, ils n’aiment pas du tout.
Vous l’avez compris, les guerres externes, contrairement à ce que pensent la plupart, ce ne sont pas des fronts partout dans les rues de la ville, mais ce sont des meurtres prémédités, des incendies criminels, des bombes dans les véhicules !
2- Les guerres internes
Les guerres internes sont plus communes, et tout aussi redoutées. Non pas par les soldats, qui, eux, sont ceux qui la déclenchent le plus souvent, mais plutôt par les parrains qui en sont les cibles. En plus clair : les soldats, ou les capos qui sont en contact avec le parrain essaient de lui prendre la vie pour le remplacer. Soit en engageant un tueur, soit en le faisant de leurs propres mains, soit en aidant la Famille adverse à y arriver. Le plus souvent, on sait qu’il y a un traitre dans la Famille, mais on essaye juste de le pister. Et là, si l’attentat qu’il tente échoue, une mort certaine lui est offerte. (sur votre document de saisie de texte notez "tuer,") Alors prudence, tentez le coup, mais préparez le bien !